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Écoles sûres, avenir solide

Semaine nationale de la sécurité scolaire, du 17 au 23 octobre
Apprenez comment aider

Le problème en bref

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Augmentation de crimes violents commis par les jeunes de 2022 à 2023

Élèves qui déclarent avoir été victimes d'intimidation

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Augmentation de rapports d'incidents violents aux écoles en Ontario depuis 2018

Chaque enfant mérite d’apprendre dans un environnement où il se sent en sécurité, respecté et soutenu. Lorsque les écoles, les familles et les collectivités travaillent de concert, nous pouvons prévenir la violence avant qu’elle ne se produise et instaurer une culture de la sécurité qui permet aux élèves de s’épanouir.

Gareth Jones

Président et directeur général , Conseil canadien de la sécurité

Alors que les salles de classe se remplissent à nouveau cet automne, le Conseil canadien de la sécurité consacre la Semaine nationale de la sécurité scolaire (du 17 au 23 octobre) à une dure réalité : de plus en plus d’élèves et de membres du personnel signalent des actes de violence, tant en personne qu’en ligne.

Les faits

La violence dans les écoles canadiennes est en hausse.

    • Des enquêtes nationales montrent que près d’un élève sur trois déclare avoir été victime d’intimidation, soit le taux le plus élevé jamais enregistré..
    • Le harcèlement en ligne est également courant, un élève sur quatre au moins ayant été pris pour cible en seulement deux mois, et près de de trois jeunes sur dix déclarant avoir été victimes de cyberintimidation.

Le problème va aussi au-delà de l’intimidation :

Action

La violence à l’école et les préjudices en ligne sont en augmentation. Les parents, les éducateurs et les décideurs politiques ont besoin de stratégies coordonnées et fondées sur des données qui allient prévention efficace, signalement rapide et soutien solide pour les élèves et le personnel.

Le harcèlement et la violence ne peuvent être résolus par les écoles ou les familles seules : il faut que ce travail se fasse de concert. Voici quatre mesures simples mais efficaces que les parents, les tuteurs et les éducateurs peuvent prendre pour modifier la donne :

Facilitez le signalement

Indiquez clairement aux enfants à qui ils peuvent s’adresser s’ils ne se sentent pas en sécurité et encouragez les écoles à mettre en place des moyens clairs et sûrs leur permettant de faire part de leurs préoccupations.

Surveillez leur vie en ligne

Fixez des limites raisonnables à l’utilisation des appareils électroniques à la maison, discutez ouvertement des comportements à adopter en ligne et rappelez aux élèves de conserver et de partager toute preuve en cas de harcèlement.

Montrez l'exemple d'une résolution calme des différends

Montrez aux enfants comment gérer les désaccords de manière respectueuse en se calmant, en utilisant des mots clairs et en faisant appel à un adulte si nécessaire.

Assurez un suivi en apportant votre soutien

Soyez attentif aux signes avant-coureurs, tels que des changements d’humeur soudains, et proposez de vérifier régulièrement leur état. Les écoles et les familles doivent travailler ensemble pour s’assurer que les victimes, les témoins et même les agresseurs reçoivent l’aide voulue pour se rétablir.

En unissant nos forces — parents, éducateurs et collectivités — nous pouvons tous contribuer à faire des écoles les lieux sûrs qu’elles sont censées être et permettre à chaque enfant de se sentir protégé, soutenu et libre d’apprendre.

For more information, please contact:

lewis.smith@safety-council.org

Lewis Smith

Chef, Projets nationaux, Conseil canadien de la sécurité